L'innocence pour fierté, écrase la fin de mes pas. Je disais que tu étais forte, mais j'aime surtout le son de toi, t'en allant. Le mascara saigne d'une larme noircit, j'ai beau être froid, je ne suis pas plus froid que toi, j'aime le son de toi, t'en allant.
Alors, Pourquoi tu ne pars pas ? les immeubles ne vont pas s'effondrer, pourquoi tu ne pars pas ? Aucun séisme ne va déchirer le sol, le soleil ne vas pas engloutir le ciel, explique moi ! Les statues ne vont pas se mettre à pleurer.
Je ne peux me retourner pour regarder ces yeux, car les excuses peuvent arriver, je dois rester fort & incrédule et aimer le son de toi t'en allant. Je l'entend ce son, amen. Et comme tu t'en vas ma pierre tombale s'effrite, comme tu t'en vas, les vents de l'Utah ont hurlés, le Kremlin chute, la radio Nova est parasité.
Comme tu t'en vas, Staline sourit, Hitler rit, Churchill tape Mao Tse-Tung dans le dos.
Malgrès les apparences et nos rêves de joie, la vie c'est n'importe quoi. La douleur est intense & le mal ici, là. Elle nous pousse à la l'insolence, & l'ingnorance. Tout est plus beau quand le jour se lève, et quand je me réveil, je repense à toi. Les évidences ne s'imposent pas, alors on les soignes avec du sparadrap, dur non ? La vie, une chanson étrange que l'on doit apprécier, la vie que le bon Dieu nous donne. Vive la république, & vive la France.
AMEN !
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